La Société Secrète d’Edition – V. N.

J’arrive à la bibliothèque seul, normalement mon ami Stefan et moi, travaillions ensemble à la bibliothèque chaque samedi mais Stefan concourra dans un tournoi de tennis. À la bibliothèque, j’essaye de trouver une place d’asseoir mais les gens occupaient tous les pupitres et chaises au premier et deuxième étage. Je marche autour de la bibliothèque encore une fois mais personnes partent. À ce temps-là, je me rends compte que je n’allais jamais dans le sous-sol de la bibliothèque. Je trouve l’escalier et puis je le descends. Au fond d’escalier je trouve une porte rouge. J’ouvre la porte et je vois un long couloir avec murs blancs et une lumière faible au milieu. À la fin du couloir, un vigile dort sur une chaise à côté d’une autre porte rouge mais cette fois, une affiche au crayon, couvre la porte. Je me faufile par le vigile et j’ouvre la porte un petit peu. Je vois une grande salle circulaire avec beaucoup de gens qui portent les robes blanches et un homme qui porte les robes rouges au milieu.

«  Excuse-moi! » crie quelqu’un en derrière moi. Je tourne pour voir le vigile qui me frappe et m’assomme.

Quand je me réveille, je me trouve devant l’homme en rouge et les gens en blancs m’entourent et scandent quelque chose.

« Bonjour Victor » dit l’homme en rouge.

« Comment savez-vous mon -»

« Sh! Nous nous appelons la Société Secrète d’Edition. Tu sais toutes les autres maisons d’éditions, comme Scholastique et Harper Collins? Elles sont toutes fausse! Nous sommes la seule maison d’édition. Nous partageons tous les revenus et le prix de publier un livre, coute beaucoup plus cher. Si le gouvernement nous découvrait, il volerait tous nos livres alors nous allons te tuer car nous ne pouvons pas assurer que tu ne vas pas dévoiler notre secret. »

L’homme en rouge m’approche mais je crie « Attendez! Attendez! Peut-être qu’on peut s’arranger! »

L’homme en rouge ne bouge pas pendant un moment et puis il dit « Tu peux faire quelque chose pour nous… Tu vois, les écoles sont de très bonnes filiales de nouvelles histoires. Si tu nous donnes ces histoires, L’enfant ne va pas avoir le crédit ou le revenu.

« Je suis capable de faire ça. »

« Bon, tu vas ramasser les histoires de ton école et chaque mois, tu reviens ici pour donner les histoires et si tu arrêtes, tu vas mourir. Où si tu dis à n’importe qui qu’on existe, tu vas mourir. Aussi si un jour, tu deviens inutile, tu vas mourir. Bonne chance et au revoir. »

Le vigile m’approche et puis il me frappe et m’assomme encore. Je ne sais pas combien de temps que je dormis mais je me réveille sur mon lit, d’abord je pensais que je rêvais mais la place où le vigile me frappai était très endolorie. Je téléphone rapidement tous mes amis pour trouver les histoires, qu’ils ont écrites. Je ne veux pas faire ceci mais je ne veux pas mourir alors maintenant je vis dans la terreur chaque jour que je vais mourir.

 

V. N.

Equipe F